L'harmonie entre avancées techniques audacieuses (puce Super FX) et univers ludiques intemporels a façonné l'identité distinctive de Nintendo, créant un héritage qui continue de captiver les joueurs.
La transition magistrale vers la 3D avec Super Mario 64 a démontré la capacité de Nintendo à anticiper et à modeler les évolutions technologiques.
Sonic, l'emblématique mascotte de Sega, a émergé comme une réponse audacieuse à Mario, captivant les joueurs avec sa vitesse. Toutefois, l'entreprise a également été marquée par des tentatives ambitieuses, parfois infructueuses, telles que le 32X, une extension visant à augmenter les capacités de la Sega Genesis, mais qui n'a pas atteint le succès escompté.
D'autres franchises majeures comme Streets of Rage et Virtua Fighter, ont rencontré un engouement spectaculaire, mais n'empéchèrent pas Sega de se retirer progressivement du marché des consoles matérielles après l'échec de la Dreamcast.
NEC Corporation, avec son incursion dans l'industrie du jeu vidéo via la PC Engine (TurboGrafx-16 aux Etats-Unis), a tenté de rivaliser avec les géants Nintendo et Sega dans les années 80 et 90. La PC-Engine était innovante, offrant une architecture 8/16 bits avant ses concurrents.
Cependant, NEC a eu du mal à percer sur les marchés américain et européen, où Nintendo et Sega dominaient.
La mascotte de la PC-Engine, Bonk, n'a pas réussi à atteindre le statut emblématique de Mario ou Sonic. A la fin des années 90, NEC s'est finalement retirée du marché des consoles.
Le marché des consoles de jeux vidéo des années 80-90 a été marqué par une diversité importante de plates-formes.
La GX4000, lancée par Amstrad en 1990 témoigne d'une tentative de diversification. La Jaguar d'Atari, introduite en 1993, une console 64 bits ambitieuse, en était une autrre. La 3DO Interactive Multiplayer de Panasonic, sortie elle aussi en 1993, offrait une expérience CD-ROM avant-gardiste, mais son prix élevé a entravé sa popularité.
Voici un exemple de machines que vous pourrez découvrir, sans oublier les consoles portable de SNK, Bandai, ...
L'Hyperspin (couplé à RocketLauncher), est notre 1er choix. Difficile à mettre en oeuvre, à paramétrer, souvent décrié, il est pour nous le frontend par excellence. Il permet non seulement de regrouper tous les systèmes de votre choix mais permet en plus une personnalisation des plus poussée.
C'est le frontend qui nous donne les meilleurs résultats et l'expérience utilisateur la plus aboutie.Vous pourrez naviguer aisément entre les différents systèmes, sauvegarder vos parties, retrouver facilement vos favoris...
Lancé en 2019 et largement inspiré de Coinops, il s'agit d'une surcouche graphique basée sur le frontend EmulationStation. Il est apprécié pour sa simplicité de mise en oeuvre ainsi que sa facilité d'utilisation. Une série de fichiers de configuration facilite sa prise en main. Ici, seuls les émulateurs prévus par Retrobat seront disponibles.
Coté présentation, vous choisirez un thème (parmi des centaines disponibles) qui s'appliquera à l'ensemble de votre système. Vous pourrez, néanmoins, opter pour des illustrations différentes pour chaque jeu.
Sur Xbox 1ère génération, il s'agit d'un frontend développé en 2010 par le brillant BritneysPAIRS. La dernière version Xbox, sortie en 2014, s'intitule Coinops 8 Massive. Diverses déclinaisons, dont CoipOPS Ninja, sont disponibles.
Depuis 2019, d'autres version de Coinops, basées elles, sur le frontend RetroFE, sont apparues. Elles bénéficient du soutient d'une communauté de développeurs organisée autour du site "Arcade Punks". De nouvelles versions et packs sont régulièrement proposés. Le support, à la différence de Retrobat, se fait quasi-exclusivement en anglais.
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